Les programmes

quartier libre

L'émission où l'on découvre les grandes figures intellectuelles d'aujourd'hui, et celles de demain, les politiques affranchis, et les héros du quotidien qui ont une parole forte à faire entendre.

pas quartier

L’émission où l’on débat sans concession, loin des clivages autorisés par le sytème, non pas pour s’agresser en vue de produire un spectacle, mais pour avancer à plusieurs.

quartier jaune

L’émission du combat historique pour la justice sociale, né en France le 17 novembre 2018. Un combat en pleine transformation, dont le destin qui intéresse le monde.

quartier interdit

L'émission où l'on parle de ce que l'on ne montre pas, parce que c'est tabou, parce que ça dérange, et où l'on découvre de parfaits inconnus qui n'intéressent d'ordinaire pas les médias.

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Notre Projet

Lancé le 18 juin 2019, QG le média libre a réussi sa levée de fonds initiale et notre équipe a déjà commencé à proposer avant l’été des émissions de débat, des live, des reportages, des entretiens. Nous entamons désormais la phase de consolidation du projet QG. Abonnez-vous dès maintenant pour soutenir sa réussite, et garantir notre totale indépendance. Grâce à vous, le site QG sera mis en ligne avant la fin de l’année 2019. D’ici là, tous les contenus que nous produirons seront en accès libre sur YouTube et Facebook.

Notre but est de poursuivre l’effort d’un peuple qui s’est remis debout depuis l’hiver 2018. D’inspirer et accompagner le combat de ceux qui, depuis les lanceurs d’alerte jusqu’aux militants pour le climat ou les droits fondamentaux, se retrouvent sans leviers face à des gouvernements occidentaux toujours plus répressifs, ou qui ne trouvent plus de relais suffisamment indépendants dans les médias existants.

QG – Le média libre

Les médias français traversent aujourd’hui une des pires crises de leur histoire. La confiance des citoyens à leur égard ne cesse de se déliter. La vie démocratique en sort incroyablement fragilisée. Les journalistes, assimilés à ceux qui possèdent leurs titres, se voient l’objet d’un soupçon généralisé. Parce que cette situation ne saurait durer davantage, nous avons décidé de lancer le projet QG.

Ne souhaitant être financés que par ceux qui nous regardent, nous visons dès que possible l’équilibre. Pour cela nous devons être très rapidement des milliers. Souscrivez dès maintenant, car rien ne sera possible sans vous.

Beaucoup d’entre nous veulent agir mais se sentent broyés par la puissance des médias de masse main dans la main avec l’Etat. QG vous propose un lieu pour partir ensemble à nouveau au combat.

L'Équipe

Aude Lancelin, la journaliste à l’origine du projet QG, a un long parcours dans les médias classiques (ex-L’Obs, Marianne, Le Média). Un parcours dont elle a tiré la conviction que plus rien de décisif n’était désormais possible dans des endroits abîmés par le pouvoir et les intérêts industriels privés. Il faut refonder ailleurs, à neuf, à partir d’une cellule journalistique vouée à mener un combat de reconquête nationale pour retrouver la liberté. Les journalistes qui collaborent à QG partagent cet état d’esprit. Des animateurs, chroniqueurs ou reporters d’images nous ont rejoints: David Libeskind et Maxime Nicolle pour Quartier Jaune, Adrien AdcaZz ou encore Adlène Mohammedi.

Mais l’équipe de QG, c’est bien sûr aussi des professionnels de l’audiovisuel, notre réalisateur Marc Exorde, son équipe technique, notre directeur artistique Germain Vaudry, auteur de l’univers visuel de QG, des attachés de production comme Antoine Birot (ex-Le Média).

Et des nouveaux venus comme Marisa Garnier, responsable administrative et financière, ou encore Chlodion Gossart, community manager de notre chaîne en ligne. Notre équipe est vouée à s’étoffer bien sûr.

Le financement

Un grand média audiovisuel a des coûts structurels importants. Ce n’est pas un hasard si la quasi-totalité des chaînes françaises appartiennent à l’Etat ou à des grandes fortunes du CAC 40. Or ce financement se paye toujours au prix fort : celui de la liberté. C’est pourquoi nous avons fait le choix de bannir sur QG tout actionnaire de ce type, tout revenu d’ordre publicitaire, ainsi que toute subvention de nature à entraver notre liberté éditoriale.

Grâce à vos pré-abonnements, nous visons dès la fin 2019 à devenir un site audiovisuel en accès semi-payant, à l’image des seuls médias en ligne qui soient parvenus à atteindre l’équilibre depuis une dizaine d'années en France.
Aucun autre modèle n’a jusqu’ici fait ses preuves pour les médias. Tous ceux qui ont fait un autre choix finissent tôt ou tard dans la poche d’un tycoon des médias comme Xavier Niel, Bernard Arnault, Vincent Bolloré ou Patrick Drahi, quand ils ne déposent pas tout simplement le bilan.

Il faut en être conscient : seules les perfusions d’argent du CAC 40 permettent aujourd’hui à l’écrasante majorité des grands médias français de vivre. Ou les financements de multinationales comme Facebook et Google, actuellement en train d’acheter à coups de millions d’euros l’allégeance de nos rédactions nationales. C’est une loi implacable du secteur : on finit toujours par protéger les intérêts de ceux qui bouclent ses fins de mois. Avec QG, nous vous proposons de financer un média qui ne défende que l’intérêt général.

Aucun média indépendant dans le monde ne survit actuellement sans la contribution de ses usagers. Quelques euros d’abonnement mensuel, c’est un vrai effort pour beaucoup d’entre nous, nous le savons, mais lui seul pourra nous permettre d’échapper collectivement à la pollution des opinions.

D'ici la fin de l'année 2019, notre objectif est de créer un site entièrement autonome, afin de devenir un authentique pure player, et de ne pas être entièrement tributaire de YouTube et Facebook pour la diffusion des contenus de QG. Vos pré-abonnements serviront à financer cette construction ambitieuse, seule à même de garantir l'indépendance totale de ce nouveau média.

Manifeste

Les médias français traversent aujourd’hui une des pires crises de leur histoire. La plupart d’entre eux sont tombés sous la coupe de puissances d’argent, dont les intérêts convergent pour l’essentiel avec ceux du pouvoir politique, tandis que la confiance des citoyens à leur égard ne cesse de se déliter. La vie démocratique en sort incroyablement fragilisée. Les journalistes, assimilés à ceux qui possèdent leurs titres, se voient l’objet d’un soupçon généralisé. C’est peu de dire que les conditions de production d’un débat informé et serein ne sont plus réunies. Parce que nous croyons que cette situation ne saurait durer davantage, nous avons décidé de lancer le projet QG.

Parce que nous savons, d’expérience directe pour certains d’entre nous, que toute sujétion capitalistique se paye d’une réduction de la liberté éditoriale, nous nous engageons auprès de nos soutiens à bannir sur ce nouveau média tout apport financier de nature à entraver cette liberté, ainsi que tout revenu d’ordre publicitaire. Seuls vous, pourrez contribuer à nous financer. Seuls ceux qui n’ont rien d’autre à défendre que l’intérêt général, unique façon de séparer résolument le métier de journaliste de celui de propagandiste.

Parce que nous croyons qu’il n’y a pas de vote démocratique véritable sans jugement éclairé, et que celui-ci ne peut naître que de la confrontation loyale des points de vue, sans escamotage de ceux qui menacent les intérêts de l’oligarchie, nous nous engageons à faire entendre des opinions qui pour la plupart se voient aujourd’hui marginalisées dans les médias dominants, quand elles n’y sont pas de longue date entièrement bannies.

Parce qu’aucun travail journalistique libre ne peut pousser à l’ombre d’un quelconque parti politique, nous nous engageons à exclure toute proximité de cette nature. Parce que dans les médias contemporains la manipulation des consciences avance à l’inverse trop souvent sous le masque de la prétendue neutralité, nous nous engageons à défendre des positions fortes, pleinement assumées. Parce que nous ne pouvons souffrir l’esprit étroitement partisan, nous nous engageons à ne jamais passer sous silence des éléments gênants pour nos propres convictions. C’est à ce prix-là seulement que la confiance d’un public à qui trop de gens ont menti depuis trop longtemps sera seulement regagnée.

Parce que nous refusons la logique néolibérale, fondée sur la destruction systématique des services publics, la financiarisation de l’économie, le broyage de l’être humain, nous mettrons tout en œuvre pour faire découvrir et soutenir des alternatives à cette lame de fond en train de reconfigurer partout les esprits pour le pire, de saccager la planète, de laminer les systèmes démocratiques, de ranimer en Europe et dans le monde entier des monstres politiques trop connus. Parce qu’au-delà de la justice sociale, la justice est notre souci, nous défendrons l’égalité concrète de l’homme et de la femme, nous combattrons le racisme et l’antisémitisme sous toutes ses formes, rivières sans retour d’où seul l’inhumain peut surgir, nous donnerons toujours la parole au faible, au minoritaire, à celui qui cherche à s’émanciper de celui qui l’écrase.

Parce qu’une certaine indigence tient lieu de débat public depuis trop longtemps, nous nous engageons auprès de nos soutiens à réaliser à nouveau l’union du journalisme, de l’engagement et de la pensée, à éclairer l’actualité grâce aux points de vue d’intellectuels, aux initiatives de citoyens, et à tout mettre en œuvre pour que revivent les grands débats d’idées qui ont longtemps fait la singularité admirée dans le monde entier de la France.

Le paradoxe de ce moment que traversent les médias, c’est qu’il fait surgir la nécessité d’une refondation avec une véritable urgence. Comment ne pas considérer que les conditions de ce sursaut sont réunies dès lors que celui-ci devient indispensable ? Seule une volonté très décidée pourra nous tirer de l’impasse démocratique dans laquelle les grands groupes de médias et la puissance publique nous tiennent désormais enfermés. Face à un champ de forces aussi puissant, nous n’avons que la puissance des mots et des images, l’intégrité retrouvée, et le soutien des citoyens de bonne volonté pour résister.

Nous comptons sur vous pour accompagner ce combat.

Nos soutiens

  • Bruno Amable, économiste
  • Yves Bernanos, réalisateur
  • Aurélien Bernier, essayiste
  • Olivier Berruyer, fondateur du site Les Crises
  • Laurent Binet, écrivain
  • David Bobin, journaliste
  • Kévin Boucaud-Victoire, journaliste
  • Taha Bouhafs, journaliste
  • François Boulo, avocat et gilet jaune
  • Youcef Brakni, comité pour Adama
  • Stéphane Brizé, réalisateur
  • François Bégaudeau, écrivain
  • Leila Chaïbi, députée européenne
  • Stéphanie Chevrier, présidente des éditions La Découverte
  • Collectif des Citoyens souverains
  • François Cocq, essayiste
  • Boris Cyrulnik, psychanalyste
  • Marc de Boni, journaliste et auteur
  • Laurent de Sutter, essayiste
  • Alain Deneault, philosophe
  • Femmes Gilets Jaunes
  • Claude El Kahl, journaliste
  • Annie Ernaux, écrivain
  • Charlotte Girard, juriste et universitaire
  • Collectif des gilets jaunes de Rungis
  • Collectif des Femmes du Palais
  • Roland Gori, psychanalyste
  • Eric Hazan, éditeur
  • Aubin Hellot, documentariste
  • Stathis Kouvelakis, philosophe, cofondateur d’Unité Populaire
  • Djordje Kuzmanovic, fondateur de République souveraine
  • La Bajon, comédienne et humoriste
  • Annie Lacroix-Riz, historienne
  • Mourad Laffitte, réalisateur
  • Dany Lang, économiste
  • Franck Lepage, éducateur populaire
  • David Libeskind, avocat
  • Raphaël Liogier, sociologue
  • Priscillia Ludosky, gilet jaune
  • Collectif des mères solidaires
  • John MacArthur, directeur de la rédaction du Harper’s
  • Jean-Claude Michéa, philosophe
  • Gérard Mordillat, écrivain et réalisateur
  • Maxime Nicolle, gilet jaune
  • Henri Peña-Ruiz, philosophe
  • Gilles Perret, réalisateur
  • Thomas Portes, PCF, syndicaliste CGT cheminots
  • Jérôme Rodrigues, gilet jaunes
  • Nicolas Silhol, réalisateur
  • Emmanuel Todd, historien et démographe
  • Assa Traoré, fondatrice comité pour Adama
  • Philippe Vion-Dury, rédacteur en chef de socialteur
  • Sophie Wahnich, historienne