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« Écologie: les fausses promesses de Macron »Avec Liêm Hoang-Ngoc

Émission du 12/09/2023

Haussman Vwanderday a reçu l’économiste Liêm Hoang-Ngoc pour évoquer l’inaction climatique du gouvernement et la dégradation de notre situation économique sous Macron. Absence de politique industrielle, taux d’impositions toujours plus avantageux pour les riches, dette et marketing politique cachant de véritables lacunes: comment espérer une avancée positive d’ici 2027? L’austérité imposée aux citoyens sera-t-elle maintenue, voire renforcée?

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21 Commentaire(s)

  1. Jour bon à toutes et à tous;

    Hier en recherchant des entretiens de l’historien de l’énergie Jean Baptiste Fressoz je suis tombé sur cet entretien plus récent:
    https://www.youtube.com/watch?v=LD88pHF7MPc
    Entretien dans lequel il explique bien mieux que moi comment tous les courants politiques (écolos compris) nous baladent avec les belles histoires du développement durable, du consommer local et de la transition énergétique que le GIEC a décidé de nommer maintenant  » résilience énergétique « , c’est t’y pas beau çà???
    En conclusion il explique en quoi à ses yeux et aux vues de ses travaux en quoi défendre l’idée de « transition énergétique » est bien plus dangereuse que celle véhiculée par les climatosceptiques dont tout le monde se moque actuellement.

    Alors oui on pourra peut être lui reprocher de ne pas « dénoncer » à grand coup de masse le capitalisme (c’est plus subtil) mais çà n’en fait pas moins pour moi un historien « respectable ».
    A ce sujet, j’ai pour mémoire que dans les années 70 lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux problèmes environnementaux (à l’époque la pollution, les pesticides, insecticides, et le nucléaire étaient au centre) les joyeux copains révolutionaromarxistes passaient ces problèmes en arrière plan, pire s’en désintéressaient totalement en disant que c’étaient des problèmes de « petits bourgeois » afin de détourner les « masses » du chemin de la révolution et que la DICTATURE prolétarienne avec la science et le progrès allaient nous libérer de tout nos maux…….. oui, oui, oui….
    Comme quoi que dénoncer le capitalisme ne suffit pas pour faire avancer…. Pire, je ne vois pas comment en économie en partant d’une idée fausse telle que la fameuse « transition » on peut étayer quelque chose de constructif.
    Il est vrai que les économistes n »en sont pas à leur premier délire et qu’ils aident bien les politiques de tous poils à nous raconter de belles histoires.
    heureusement que l’économie n’est pas une science sinon ils finiraient par l’imposer au monde…..OUPS….. ben mince alors !!!!!!

    Force et courage………

    1. « A ce sujet, j’ai pour mémoire que dans les années 70 lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux problèmes environnementaux (à l’époque la pollution, les pesticides, insecticides, et le nucléaire étaient au centre) les joyeux copains révolutionaromarxistes passaient ces problèmes en arrière plan, pire s’en désintéressaient totalement en disant que c’étaient des problèmes de « petits bourgeois »

      Très intéressant témoignage qui corrobore ce que j’ai percu moi meme en compulsant des revues des annees 70 qui abordaient deja ces problèmes avec acuité comme vous le faites ici et qui n’ont pas plus été écouté hier que vous ne le serez aujourd hui

      Je remarque que ce sont ces mêmes petits bourgeois qui reprennent aujourd’hui en boucle les mantras d’une écologie devenue politique et idéologique pour imposer leurs vues à la société toute entière.

      Je fais très clairement pour ma part un lien entre la politisation en parti de cette cause en France avec les faux débats qui ont agité ces questions, et la fragilisation de l’autonomie énergétique française attaquée par les lobbies anti-nucléaire, bataille dont le grand gagnant est l’Allemagne et son industrie.

      François Meilhan venu plusieurs fois sur QG s’exprimer sur ces questions à me semble t-il bien perçu les véritables enjeux de cette écologie politique regardée comme un cheval de Troie. Merci les petits bourgeois mondialistes qui ne connaissent de la Terre que la crème qu’il mange à tous les desserts pendant que les boueux qui font motte dans leur univers la retournent pour en faire sortir pitance et salaire.

      Car le problème de la Terre et de l’environnement que nous laisserons aux générations futures est réel. S’il on continuer d’exploiter frénétiquement les ressources pour satisfaire le consumérisme bourgeois de masse de 8 milliards d’individus on court vers l’abîme et pour tous la misère.

      Il est urgent de reconsidérer nos choix fondamentaux d’existence à commencer par remplacer le besoin d’avoir par le besoin de ne pas avoir. Joie d’une certaine austérité et économie de moyens. LESS IS MORE dit le dicton. Force de l’inconfort et d’un certain manque que fuit le bourgeois comme il fuit l’essentiel.

      Je ne preche ni le rejet des biens ni l’austère rigueur, mais la conscience que nous ne sommes pas seuls sur cette terre dont nous sommes gardiens pour un court temps et que nous ne faisons que l’emprunter à nos enfants qui perpétuent notre présence sur ce vaisseau dans l’Univers.

      1. La lutte anti-nucléaire à cette époque avait ses raisons d’être et il n’y avait pas de lobbies à cette période puisqu’il n’y avait de toute façon pas de débat à ce sujet. Je pense que le sujet méritait pourtant d’être débattu mais à gauche comme à droite tout le monde était pour. Pour rappel les verts n’existaient pas et le mouvement écologiste réunissait tout un mélange de personnes assez détonnant et très peu orthodoxe c’est ce qui faisait sa force et son originalité, mais hélas les politiques en ont fait un truc horrible……
        Pour la foi dans le nucléaire de tous les partis de l’époque il est bon de relire les commentaires de journaux tels que france soir, l’huma, le figaro etc;;; lors d’Hiroshima et Nagazaki c’était applaudi comme un exploit dans le monde et chez nous un superbonus cocorico car nous avons été les précurseurs dans ce domaine de recherche .
        Donc, le combat n’était pas absurde car déjà se posait la grande question du choix de société.
        Bonne journée
        PS : Fressoz démontre fort bien dans certaines conférences à quel point les choix énergétiques sont tout sauf rationnels ni même d’ordres économiques

        1. Salut Delacre

          Merci pour ces précisions historiques. Je ne connais cette période qu’à travers livres et brochures et je regarde le nucléaire non sous l’angle écologique mais l’angle énergétique et industriel face aux problèmes structurels que traverse la France dans la politique qu’elle devrait avoir face à la mondialisation pour protéger et préserver son patrimoine et son avenir. Les manœuvres dont je parle sont des parties d’échecs et de conquête qui se jouent sur des décennies avec des rapports de force et des moyens en jeu qui dépassent l’entendement du commun des mortels.

          Si je vous disais que pour introduire sur le marché de la simple margarine en concurrence avec le beurre et l’huile, une agence de com mandatée par l’industriel a œuvré pendant 10 ans dans les années 70-80 pour manipuler l’opinion à ces fins purement commerciale, notamment en créant de toute pièce un faux débat public sur les maladies cardio-vasculaires qui propagent toujours ses mensonges de nos jours (souvenir d’un cours édifiant reçu à l’ESCP en 1993), vous comprendrez aisément ce que je veux dire quand j’interpelle en disant « imaginez ce qu’ils sont capables de faire pour une énergie première ou pour une guerre ».

          Je recentre aujourd’hui mon propos sur la dénonciation de tous ces mensonges et manipulations, bien plus subtiles qu’il n’y paraît. Aude Lancelin a ouvert une brèche avec ses ouvrages « Le monde libre » et « La Pensée en otage », en pointant du doigt la main mise de l’argent sur l’information. Première étape nécessaire qui ouvre tout un champs de deconstruction de l’information et ses modes de divulgation. Je suis venu sur QG pour cette raison.

          La voie est le chemin et le chemin est la voie dit le TAO. Ce qui signifie que nous ne parviendrons pas à libérer l’information et la Pensée prise en otage dans ses filets, sans créer et participer nous même à la création de l’information et sa diffusion. Cet espace commentaire comparable à un petit think tank populaire poursuit ce but. Premier stade qui se maintient bon an mal an et que j’espère voir se poursuivre.

          Si nous ne voulons pas nous laisser dominer par des élites qui s’arrogent le droit penser et parler à notre place en nous maintiennant dans le rôle d’oies qui reçoivent la pâtée pour marcher sur leurs talons, nous devons forger nous même nos outils de pensée et s’assurer des moyens de leur diffusion.

          J’ai espéré en vain voir surgir sur ces écrans des têtes et des voix comme les vôtres qui tonnent sur le trottoir devant la vitrine. Il n’existe même pas une page où nous pourrions échanger idées et projets pour faire avancer cette idée d’un média « par le peuple et pour le peuple » qui signait dans les tous premiers temps QG. C’est peu dire qu’en France le petit peuple a à peine droit de citer dans la Capitale. J’ai conscience des difficultés et des contraintes, énormes, qui pèsent sur les épaules de Aude Lancelin pour maintenir à flot son vaisseau. Jouer dans la cours des grands avec des zozos (des jojos ?) comme nous dans les barres, ne doit pas être facile tous les jours, surtout que nous lançons quotidiennement nos grappins sur ses haubans et que la police de la pensée veille. Elle existe n’en doutons pas.

          A chacun sa place dans ce combat. Les lignes de front sont partout et se déplacent au gré des vents et des courants. Je prends le LARGE aujourd’hui mais je garde un œil sur ici et gratitude pour ce que j’y ai vécu et pris comme forces. Ce qu’elle ne peut pas faire je peux le tenter en mode solo en saluant QG. J’ai ressorti ma caméra et je compte bien parcourir la France dans mon camping car pour pointer mon œil oiseau sur le fond de mare de ce peuple où bout la niaque. Si vous avez fait un détour par mes images, vous verrez que je suis prêt à tout recevoir et tout entendre. J’espère avoir un jour l’occasion de vous croiser, pour me parler du nucléaire et de ce que vous aurez vécu ici sur QG. Toile sur Toile ! Vous connaissez l’adage…

          Hasta luego amigo et bon courage !

          1. Pour préciser un tout peu, à cette époque la guerre froide ne se réchauffait pas et la menace nucléaire était bien présente. A ce sujet un petit truc pas mal
            https://www.youtube.com/watch?v=ehU60kBRkwQ

            Et encore une fois merci pour ces échanges et je ne sais pas comment mais peut être pourrons nous un jour discuter de vive voix.
            A bientôt

    2. Ah ! vous la crachez enfin votre Valda ! Vous êtes donc anti-communiste Delacre ! La « DICTATURE du prolétariat » : beurk !!!

      Cela confirme, malgré vos dénégations dans le texte, que l’écologie sert souvent de cache-sexe à l’anticommunisme primaire. Et votre obsession dérisoire sur la transition vous sert, en fait, de double camouflage.

      En tout cas, vous devriez tenter votre chance dans le nouveau think-tank écologiste financé par le Crédit Mutuel et dirigé par Laurent Berger, autre anti-communiste primaire. Perso, vraiment intéressé à l’écologie, j’ai tenté ma chance mais, avec mon couteau entre les dents et mon vêtement couvert de sang, ils n’ont pas voulu de moi !

      Ô farce et courge !

      https://youtu.be/tyLCfBKyHt0

          1. vous n’avez pas le choix, c’est indiscutable,,,,,,,,C’est avec ce genre de rhétorique que les anticommuniste primaires ont découragé bien des gens, les détenteurs de la foi font bien plus de ravages que des gugus comme ma pomme.
            Et vous me faites vraiment mais vraiment rire et c’est bien pour çà que je continue à vous répondre, vous êtes trop drôle,
            Merci à vous

          2. Je vous fais rire ? hum, j’en doute. Je crois plutôt que vous faites le matamore pour cacher votre trouble. Parfois les lapsus ne trompent pas. Relisez-vous attentivement.

            (le type de réponse « vous me faites rire » figure dans tous les manuels de la répartie : ça s’appelle « l’approche paradoxale » face à une agression ; approche développée entre autre par Paul Waslawick dans l’école dite de Palo-Alto il y a environ 60 ans).

        1. Salut Ainuage, salut Delacre

          Sympa l’échange musclé entre deux figures du village QG. Si j’avais la possibilité de poster une image je vous caricaturerais tous les deux avec des airs gosciniens et uderzesques en Cétautomatix et son marteau face au poissonier Ordralfabetix et ses couteaux qui se foutent sur la gueule comme deux chiffonniers avant de se retrouver joyeusement attablés au banquet final pour feter la Victoire avec Assurancetourix ficelé à l’arbre avec sa guimbarde désossée.

          Ils ont bon dos « les détenteurs de foi », cher Delacre. « Ravages » ravages…Voilà un point sur lequel Ainuage ne vous dédiera pas. Je dis cela sans rancune aucune. Vous m’avez offert là un beau tableau de départ que soyez sûr, je reprendrais en repensant à vous et en trinquant à la votre dans mes images. Je reprends la mer pour de nouveaux rivages. Je m’en vas chasser le Diplo. Après le rhino et le cougar, une petite halte herbivore sur Greenland ne me fera pas de mal. J’ai un Tyrex dans le viseur. Ça mérite bien une petite halte pour reéaaprovisionner et remplir les cales.

          Saluti tutti

          Je repasserai en mode furtif à l’occase

          Merci pour vos partages. Je garde forte et belle mémoire de vous deux
          🍻

          1. Merci !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

          2. Vous êtes en train de tomber bien bas Delacre. On sent nouvellement en vous une haine qui prend le pas sur tout, et qui vous fait sortir de façon répétée du débat contradictoire classique, débat qui est la vocation de ce site. Je ne souhaite pas vous suivre dans cette voie nouvelle où il s’agit de disqualifier la personne plutôt que ses arguments.
            Mais vous pouvez compter sur moi (et réciproquement j’espère) pour le débat habituel d’arguments politiques, même si nous ne sommes pas d’accord sur tout.

          3. il me semble que pour disqualifier vous êtes pas mal, relisez tout et vous verrez que c’est bien vous qui avez commencé les hostilités, quand au reste il me semble que, même si vous n’êtes pas d’accord avec moi, j’apporte un petit quelque chose au débat quand à la haine??????? mais pourquoi pas, je suis bien loin de la haine du bourgeois envers la gueusaille et beaucoup, beaucoup moins dangereux donc à la prochaine

          4. Je reconnais que j’ai parfois la dent dure, mais rarement expéditive (j’essaie d’argumenter).
            Ici, de mémoire (c’est un peu long de tout relire), j’ai démarré sur « DICTATURE du prolétariat » avec « dictature » en grands caractères : le message est clair : tout communiste est un dictateur ! vexant ! vexant mais classique : on se le prend en permanence dans la figure.
            J’en reste là pour l’historique de notre dispute !

            Mais avant de clore, je voudrais expliquer en quoi le sens de « dictature » seule, et de dictature dans « dictature du prolétariat » n’est pas le même sens : et est même inverse. Dans notre système actuel (le capitalisme) le prolétariat est infiniment plus nombreux que la classe capitaliste; c’est d’ailleurs par une ponction sur chacun des revenus des prolétaires que le capitalisme est ce qu’il est : une surpuissance politique capitaliste minoritaire par rapport à l’impuissance politique du prolétariat majoritaire. Ce sont les capitalistes qui possèdent l’Etat en tant qu’organisation.
            Or, qu’est-ce qu’une démocratie ? c’est un système qui, dans mon esprit, donne le pouvoir à la majorité, à la classe majoritaire. Cette classe, c’est le prolétariat ! Donc le prolétariat doit détenir le pouvoir politique puisque nous sommes en démocratie. Mais la classe perdante ce sont alors les capitalistes, classe qui ne veut absolument pas céder le pouvoir cad l’Etat. Du coup, les prolétaires doivent prendre le pouvoir par la force et le conserver par la force, car en face ils ne vont pas se laisser faire : cette prise de pouvoir et sa conservation par la force s’appelle dictature. C’est une dictature démocratique ! ou dictature à visée démocratique : socialisme puis communisme.

  2. Bon ! voilà un économiste essentiellement anticapitaliste, l’écologie n’étant ici pour lui qu’un des arguments de dénonciation des méfaits de la toute puissance de ce capitalisme :
    – Dénonciation de l’écologie financière qui prétend que seul le capitalisme peut réguler les effets funestes du … capitalisme !!!!
    – Dénonciation de la privatisation de toute forme d’activité « de Service Public »
    – Dénonciation de la main-mise du Capital sur les organes politiques de la nation
    – Dénonciation de la loi d’airain des dividendes
    – Dénonciation des cadeaux fiscaux aux entreprises (dividendes dorénavant taxés au même niveau qu’un salaire moyen bas : le « travail » plus imposé que « l’exploitation du travail » : on aura tout vu) !
    – Dénonciation du creusement de la dette du fait de ces mêmes cadeaux fiscaux.
    – Dénonciation du droit à polluer moyennant finance (en gros dénonciation de la restauration du système des « indulgences » que les capitalistes avaient pourtant critiquées aux 16ième siècle à travers le protestantisme ; mais là, aujourd’hui, le système est géré par eux-mêmes et donc ça va dans leur caisse commune à la fin et pas dans les poches de l’Eglise).
    – Dénonciation du financement de cette dette et de ce droit par l’érosion de l’épargne populaire (livret d’épargne, ….) et par la surexploitation du travail
    – etc … (pour raison personnelle je me suis limité aux 30 premières minutes).

    Tout cela est déjà suffisant pour faire de lui un économiste respectable !

    Pour info, le traitre Laurent Berger vient d’être embauché par une grande banque française (le mot « mutuel » est l’arbre pourri qui cache la forêt : https://www.latribune.fr/economie/france/laurent-berger-rebondit-au-credit-mutuel-975921.html ) pour animer un think-tank dédié à l’écologie : l’écologie et les think-tanks comme voies de garage et de remerciement des traitres au prolétariat !!!!! Prochaine étape : le dîner du Siècle ! https://www.monde-diplomatique.fr/2011/02/DENORD/20132 ; bon appétit Laurent ; mais ça me donne envie de gerber.

  3. BLABLABLA !!!!!!!! BLABLABLA !!!!!!!!!

    DESOLE, vraiment désolé mais il me semble que sur QG le message de l’historien des énergies Jean Baptiste Fressoz ne passe pas ou reste inconnu ce qui me semble être le cas de ces deux personnes.
    Donc une petite cession rabâchage ; LA TRANSITION ENERGETIQUE N’A JAMAIS EXISTE et N’EXISTERA JAMAIS !!!!! je remet à nouveau à la connaissance du public de QG quelques conférences de Fressoz (il y en a d’autres);

    https://www.youtube.com/watch?v=mMQwdUxF_bQ
    https://www.youtube.com/watch?v=p5VEy2IjDMs
    https://www.youtube.com/watch?v=lO0r5O4-2wU

    Continuer à entretenir le mythe de la transition est dangereux voir aux vues de la situation actuelle totalement délirant car çà permet de faire croire qu’on peut continuer à consommer comme des brutes car il y a LA solution LA TRANSITION, avec LE développement DURABLE et LE LOCAL. YOUQUIIII !!!
    Soyons fous imaginons que nous (comme dit l’invité) décarbonons l’économie et nous nous passons de gaz et de pétrole, donc plus de plastique, de médicaments,de produits chimiques, plus de panneaux solaires, d’éoliennes, de bagnoles, de trains; plus de vêtements, de chaussures, d’extractivisme etc, etc….Et on réindustrialise pour faire quoi ???

    A 43.57, le journaliste Haussman Vwanderday dit : bon, on a bien compris que la transition c’est de la comm, dites moi maintenant comment faire pour avoir une vraie transition………..

    Puisque la transition ne sera pas il faut se demander sérieusement de quoi nous sommes prêts à nous passer et sommes nous prêts à changer RADICALEMENT nos modes de vie…. Et là comme on dit dans la brousse ; on a pas sorti le cul des ronces…….

    Heureusement que l’économie n’est pas une science……..

    J’ai fait un rêve….. une émission avec Aurore Stephant et Jean Baptiste Fressoz…….

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