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« Les #Gueux : débloquons la République ! »Avec Alexandre Jardin, Aude Lancelin, David Libeskind
Émission du 23/10/2025
Personnage bien connu des Français depuis les années 1980, Alexandre Jardin est écrivain et metteur en scène pour le cinéma, auteur de nombreux best-sellers. Fondateur du mouvement « Bleu Blanc Zèbre » dans les années 2010, il choisit d’adopter un discours toujours plus contestataire, quand d’autres finissent, avec le temps, par rejoindre le parti de l’ordre. En 2025, il lance le collectif « Les Gueux », qui dénonce certaines politiques environnementales qu’il juge antisociales, ainsi que la confiscation du pouvoir par des élites déconnectées. Aude Lancelin et David Libeskind ont tenté de mieux comprendre qui est le nouvel Alexandre Jardin et quelles sont ses pistes pour « réenchanter » une politique française plus que jamais en ruines.
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5 Commentaire(s)
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merci beaucoup pour cette émission comme vous l’avez évoqué le coeur du problème c’est la production. A l’heure actuelle, nous définissions le travail: tout emploie mettant en valeur un capital : salarié de grandes entreprises. Les travailleurs de PME, indépendants, les fonctionnaires travaillent w au rendement pour rembourser une dette, qu’elle soit privée ou public. Les entreprises privées sont financées par des investisseurs ; actionnaires, banquiers, marchés financier, selon le bénéfice qu’ils peuvent faire. et pas en fonction de l’utilité sociale que leurs activités représentent. Le secteur publics se finance par l’impôt, cotisations et, depuis 30 ans s’endettent les marchés financiers . . Toutes demandes ou de création emplois nécessitent un investissement privé supplémentaire , et la poursuite de notre aliénation aux investisseurs. .Nous n’avons pas besoin des actionnaires et banquiers, .Pour financier des le service public et les entreprises grande ou petites, pour décider des objets ou services à produire. la généralisation de la sécurité social nous montre que nous savons investir dans des salaires et des Outils de travail, sans capital ni crédit, Le doublement du taux de cotisation à l’assurance-maladie entre la Libération et la fin des années 1970 a permis de subventionner largement l’investissement hospitalier, de créer une fonction publique hospitalière et de conventionner les soignants libéraux, bref de produire 10 % du PIB hors de la logique capitaliste de la propriété lucrative et du marché du travail. nous pouvons continuer d’augmenter le taux de cotisations : l’assiette des cotisation doit être calculer sur la valeur ajoutée, des entreprises. . Attribuons un salaire à la qualification a tout résident français, accompagné d’un droit à décider sur ceux qui est produit. Décider, C’est pouvoir valider des activités comme du travail qui ne génèrent pas de profit, pouvoir décider de nos productions, nous pourront décider des lieux de productions (au plus près des travailleurs) avec quelle matières premières, et avec quel fournisseurs travailler, choisir des productions à faible empreinte écologique. Travailler en respectant la nature, nécessite beaucoup plus de travailleurs
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Bonjour, merci pour cette émission, et toutes les autres que j’écoute et essaie de faire connaître autour de moi. J’aimerais que vous rendiez accessible à tous l’entretien avec Alexandre Jardin, je n’avais pas grande confiance en lui, mais il a répondu à vos questions et à celles que je me posais depuis sa position sur les ZFE, galvaudée par les medias et les partis politiques, surtout de la gauche non PS à laquelle j’appartiens, et la suite m’intéresse. Merci,
MJ Petit Micheletti -
Merci pour cette entretien et pour votre curiosité vis à vis du personnage. Bien d’accord avec lui sur la nécessité de passer à un régime plus participatif : une démocratie plus adulte et plus réelle, où les électeurs exercent pleinement leur citoyenneté. Face à la crise actuelle et au sentiment de pourrissement, je lis et je m’informe sur des media tels que le vôtre pour essayer de comprendre et trouver un débouché. J’en reviens toujours à la même conclusion : rien ne bougera, tant que le peuple se contentera d’un simulacre de démocratie qui nous avilit et qu’il délèguera son pouvoir à une caste. C’est la raison pour laquelle je soutiens la presse libre autant que je peux. L’argument classique de « le peuple peut choisir de rétablir la peine de mort » ne me convainc pas. Le peuple est souverain ou il n’est pas. L’erreur est humaine, mais je ne pense pas qu’un peuple bien informé puisse errer très longtemps. Dit autrement : je ne pense pas qu’une « élite éclairée » fasse nécessairement mieux qu’un peuple engagé dans un processus de responsabilité. Je pense que l’élite éclairée est un mythe rassurant mais que la réalité est que nous sommes dirigés par des intérêts financiers qui se préoccupent peu de l’intérêt général.
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. . DEBLOQUONS l’accès gratuit à cette vidéo . . qu’elle soit accessible (aux) . . au « peuple » ! . .
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Le mépris macroniste n’est pas une révélation. Jardin est totalement insipide… confus, soporifique, généraliste et au final inoffensif pour le grand Capital…une forme de Glucksmann avec un petit arrière goût de Patrick Sébastien