« Rentrée 2025 : La révolte ou la liquidation »Avec Aude Lancelin, Didier Maïsto et Harold Bernat

Émission du 28/08/2025

Alors que François Bayrou a surpris tout le monde en annonçant en début de semaine qu’il allait, le 8 septembre prochain, solliciter un vote de confiance à l’Assemblée nationale, son gouvernement est désormais en sursis. Deux jours plus tard, le 10 septembre, ce sera la grande journée annoncée de blocages, grèves et manifestations. Cette rentrée, qui s’annonce explosive, pose évidemment la question du maintien d’Emmanuel Macron à l’Elysée. L’automne 2025 réussira-t-il là où les Gilets jaunes et le mouvement contre la réforme des retraites avaient échoué à renverser le macronisme ? Pour analyser à chaud cette situation avec vous, Aude Lancelin, Didier Maïsto et Harold Bernat étaient en direct le jeudi 28 août, dans le tout premier Quartier Populaire de la nouvelle saison sur QG.

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« Rentrée 2025 : La révolte ou la liquidation » avec Aude Lancelin, Didier Maïsto et Harold Bernat
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1 Commentaire(s)

  1. Macron ne démissionnera jamais car ce qui l’intéresse c’est être le leader européen pour gérer (c.a.d poursuivre) la guerre contre la Russie.
    Nous avons tendance à oublier qu’une situation de guerre (bien conduite en terme de propagande) est le meilleur moyen de rassembler la majorité d’un pays et faire taire les revendications sociales (qualifiées d’égoïstes).
    Il faut un ennemi pour rassembler un pays. La « macronie » (au seul service du CAC 40) laisse au RN le soin de désigner le migrant incontrôlable comme épouvantail et met en avant le Russe (Poutine l’agresseur et ses usines à trolls qui précéderont les drones) qui veut nous bousculer et s’étendre. Il peut ainsi argumenter facilement avec la défense de nos « valeurs démocratiques » et de notre espace européen.
    Pour Macron c’est la meilleure façon de garder le pouvoir (en France puis comme le Churchill de l’Europe de 2027) et de « rester dans l’Histoire »,
    Il me semble quasi certain qu’il ne partira pas, quitte à éborgner quelques manifestants ou à embastiller les saboteurs maladroits si la tension monte.
    Aujourd’hui le débat sur la poursuite de la guerre en Ukraine ou une paix négociée (au déficit assumé de l’Ukraine qui ne peut continuer la guerre sans un engagement militaire massif de l’Europe) est soigneusement mis sous la cendre en France (Trump n’aurait-il pas raison, les rapports de force priment sur les traités ?).

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