Pour accéder à ce contenu veuillez vous connecter ou vous abonner

Confidences d’une journaliste sans filtre – Quartier LibreAvec Mémona Hintermann

Émission du 25/01/2023

Aude Lancelin a reçu Mémona Hintermann, grand reporter et ex-membre du CSA. De la guerre du Golf à la tentative de viol par le colonel Kadhafi qu’elle a subie, elle raconte les expériences les plus marquantes de son incroyable carrière. Pressions, censure, copinages, comment les oligarques de la presse et les politiques défendent leurs intérêts au sein du paysage médiatique? Du Kosovo à l’Ukraine, que ressent un reporter de guerre sur le terrain? Quel tournant Macron a-t-il marqué pour le journalisme en France? Notre invitée partage son expérience hors norme sur toutes ces questions avec une grande sincérité

À voir aussi
À voir aussi

19 Commentaire(s)

  1. Pas grand chose à dire sur cet entretient.

    Force de propos, force de caractère, on sent un certain vécu qui donne relief au témoignage de cette femme dans son parcours au sein des lieux de pouvoirs. Je n’en retiens pas grand chose coté idées ou infos, les histoires racontées n’ont fait que me conforter dans mon point de vue sur le monde politico-journalistique, j’en retiens surtout une atmosphère.

    « Atmosphère, atmosphère, est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? » vous entends-je réagir… Ben oui !

    Tenez, quand j’écoutais Mémona parler de la Libye, j’avais des odeurs de sable et de vent chaud piquant du désert qui me sont passées sous le nez .. J’en croyais pas mes oreilles alors j’ai écarquillé les mirettes pour toucher du doigt le mystère de cette émanation et j’ai scruté l’image. Je me suis dit que c’était les paillettes ! Du coup je suis retourné à mon ouvrage avec l’idée de faire briller des flammes. Ça tombait bien, ça parle aussi des médias (dominants) et ça parle aussi du témoignage d’une Dame et comme je l’espérais, j’ai réussi à le finir et le publier sur ma chaine avant « fin de semaine »…

    https://youtu.be/fFVTwhVm480

    1. Atmosphère aussi sur votre lien : https://youtu.be/fFVTwhVm480 .
      Mais autre atmosphère cependant ! j’ai trouvé l’intro un peu brutale quant aux images et la musique. « Après », sur le contenu, ça se calme proprement dit, et c’est l’essentiel. Musique extra dans cet « après » ; et contenu extra aussi évidemment.

      Décidément, Aude en a de la chance d’avoir un auditeur tel que vous.

      Maintenant, on attend l’après de l’après ! https://www.youtube.com/watch?v=1sUkTIsWI2c

      De plus le hasard de Youtube m’a donné automatiquement la suite (je n’ose dire l’après de l’après) suivante : https://www.youtube.com/watch?v=t_eiwJ14IMA
      (note : non, non, l’image du dé à coudre ne convient vraiment pas à Aude).

      1. Merci pour ce retour de bonté et bon sens
        qui ouvre des pistes et directions à suivre
        « le sens, le sens, le sens »… écriviez-vous
        en commentaire dans un récent échange

        J’ai réalisé ce clip avec cette ritournelle en tête
        Le début est un peu brutal je vous le concède
        J’ai donné volontairement dans le hard core
        pensant jouer du cors pour réveiller les morts

        Je lifterais l’entête pour le prochain épisode
        D’ici là je vais couper en tranches de cake
        ce deux minutes 10 secondes et 4 images
        Pour en faire un bunch de cacahouètes

        Des plans-tags de 4 à 10 secondes max
        À balancer sur toutes les ondes en vrac
        Avec des citations d’auteurs de choix
        Puisés aux échanges sur QG.media

        Un bon mix cuisiné à la hâte
        Pour passer le shadowban
        et faire vivre les flots d’ici
        au loin pour dire « Vienzi!»

        C’est juste un APéRO éclair
        d’amuse-gueules très COM
        pour faire entrée en matière
        et annoncer Belle Donne

        Pour la suite que dire?…

        Merci pour vos pistes à suivre
        J’ai plusieurs scénars sur table
        avec anims et chants lyriques
        dont celui de « L’Internationale »

        Du Wall je ne suis « qu’another brick »
        un simple sloop qui croise au large
        des côtes et accoste dans les criques
        pour faire du troc d’idées en marge

        J’ai un max de notes dans mes soutes
        Et j’entends bien belles les sortir toutes
        Sur QG je me suis signé et vécu la joute
        Avec QG en base je reprends la route

        A très bientôt Ami, grâce à vous
        je la reprends… en musique 😉
        et je dois vous avouer
        que je me suis bien marré

        Vos deux clips m’ont renvoyé direct
        dans les seventies version paternelle
        guitare choucroute en bandoulière
        et joli coquelicot à croquer en tête

        Je préfère les 60 outre-atlantique
        versant groove rock and fizz-fizz
        Y’a plus de Vent et ça chaloupe
        comme ce mix doors-apocalypse

        https://www.youtube.com/watch?v=je7rMhKQaEA&t=291s

      2. A propos de Aude Lancelin dont vous saluez « la chance de m’avoir comme auditeur »… hum hum
        Je soulignerai plutôt la chance pour ma part de l’avoir lue et suivie

        « D’ailleurs Derrida » de Safaa Fathy se termine sur le regard évasif et le sourire en coin du célèbre philosophe, filmé dans le couloir de sa maison, répondant à la question de savoir s’il avait une idée de celle qui lui succèderait philosophiquement parlant. « Celle » avez-vous dit ? Qui d’autre qu’une femme « qui serait une philosophe qui ne ferait pas de philosophie » justement pour incarner cette « sortie de la philosophie » et de son « phallogocentrisme », faire entrer la pensée dans un vaste mouvement de féminisation qui doit permettre à l’humanité d’accoucher de ce « vivre enfin » tant recherché ?

        « La pensée en otage » n’est certes guère qu’une conférence-manifeste donnée en public devant un parterre d’étudiants en université, raison pour laquelle je me suis permis de l’adapter, considérant cet ouvrage comme un document d’études laissé à la disposition d’un public averti et avisé, il n’en demeure pas moins un ouvrage qui a engagé son auteure bien au-delà du monde des idées avec ce site et qui porte donc en lui-même force vectorielle.

        QG est la réalisation concrète d’un engagement intellectuel. Combien ont le courage de porter aussi loin les idées qu’ils balancent à tour de voix et de lignes sur les écrans plats et dans les livres ? Bégeaudeau a bien raison de se tenir en réserve du mot LIBERTÉ. Il est honnête avec lui-même. Je gage qu’il a aussi une idée de l’adversité que vivent ceux qui s’engagent dans ce chemin de croix aux prises avec la relativité de toute situation et la difficulté de tout choix quand on se donne pour objectif de faire vivre et de vivre son idéal dans ce monde.

        La vérité que je sers n’exige rien d’autre que « d’attacher son pied à sa lèvre », d’agir en accord avec ses propres paroles si vous préferez. Quand je sens cette force à l’oeuvre sur le terrain de la liberté, terrain qui m’est si cher qu’il en est devenu chair, je souscris et je soutiens. Ne déduisez rien d’autre de mes contributions créatives livrées ici, qu’un engagement libre pour défendre le peu que nous avons de liberté, la liberté de conscience et d’expression, aujourd’hui en danger dans notre pays.

      3. Dernier passage
        après café matinal

        « Dé à coudre » avez vous dit ?
        Ou doigts agiles en ligne ?

        Saviez vous que « le montage »
        outre qu’il est dit d’usage
        qu’il est « travail de sage femme »
        est aussi ouvrage d’enfilage
        Comparable en nature
        À celui de la Couture ?

        En nous proposant des films
        Que fait Aude sinon tenir le fil
        de cette aiguille qui se faufile
        entre les images-plans d’un film
        comme entre les lignes d’un livre ?

        Allez assez finassez
        Je file sur Todd

        ! 😉

    1. pour la petite histoire, cette journaliste, Anne-Laure Bonnel, est grillée sur tous les médias car elle a une vision de la guerre en Ukraine assez différente de la version officielle, sans pour autant défendre Poutine. Même sur les médias dits de gauche on ne l’entend pas pourtant ce qu’elle a vécu au Donbass il y a 10 ans donne une petite explication sur la guerre en cours. Il n’y a qu’un média « très à droite » qui lui a donné la parole, désolant non?????

    2. Je connais bien Anne Bonnel et ses reportages. Il est clair qu’elle subit une censure absolument dégueulasse, alors même que ses prises de risques sont considérables; elle ne joue pas dans la même catégorie que Mémona, qui a exercé son métier dans le cadre tout de même protecteur du salariat (je crois qu’Anne Bonnel est une free-lance, seul statut possible pour son orientation). Oui elle est plus méritante que Mémona sur cet aspect.

      J’ai protesté aussi contre la censure de RT, seul média large public d’information -heureusement hors distraction et « politiquement plus neutre que tous nos média nationaux »- ayant sincèrement donné la parole aux GJ. Quand l’égalité (financière) d’un média existe (c’est le cas de RT), on lui supprime la liberté.
      La censure c’est soit par le fric, soit par le droit. C’est Liberté ou Egalité, pas les deux. Quant à la Fraternité, n’en parlons pas !

      1. Je ne sais pas si l’une est plus « méritante » que l’autre, ce n’est d’ailleurs pas mon propos, mais je trouve dommage que certaines personnes qui font un réel travail de qualité soient à ce point ostracisé et de voir à quel point même à gauche il faut un discours qui ne fasse pas trop tache. J’avoue que je peux passer pour quelqu’un qui a la dent dure (pour un sans dent c’est comique) mais je suis tellement en rage envers la gauche dans son ensemble que je n’arrive plus à laisser passer quoi que ce soit quitte à être excessif par moments, mais l’attitude de la gauche vis à vis des gueux est pour moi excessivement déplorable et la « crise » covid a mis en évidence la soumission à la doxa. En ce moment on assiste à une grande mascarade avec les retraites afin de faire oublier que les lois anti chômeurs, anti RSA, anti squat, anti manif et tant d’autres lois toutes plus liberticides les unes que les autres sont passées plus que crème, alors oui il y a de quoi être en rogne vis à vis de toute la gauche et mes petits excès ne les affecte aucunement alors que le quotidien de la gueusaille affecte et détruit dans une indifférence crasse. Le chômage tue environ 15000 personnes par an, supprimer le chômage coute moins cher et est beaucoup simple que la guerre contre un virus, rien n’est fait, pire si on doute un peu sur les discours officiels on devient « non citoyen » qu’on a le droit d’emmerder à donf et si on est au chômage c’est par fainéantise et qu’on préfère être somptueusement assisté. Pendant la campagne électorale on ne parlait que du smic mais rien à propos de celles et ceux qui galèrent avec 350 balles par mois, somme qui a été voté par des élus qui s’attribuent à eux 8000 balles tellement ils sont méritants. Si ils étaient payés aux résultats sur la misère il me semble que les lendemains seraient radieux.
        Bonne journée et merci pour vos remarques qui me permettent d’avoir un autre angle de réflexion, ce qui ne signifie pas pour autant adhésion….

  2. Finalement il y a énormément à dire.

    Je commence par le plus fondamental selon moi, à savoir la « vision » de la structure de (et non pas « du ») gouvernement de la Nation Française. Là-dessus Mémona porte le jugement suivant : « l’Etat est fautif de laisser les choses telles qu’elles sont en matière d’audiovisuel cad de laisser quasi totalement le PAF aux mains d’oligarques ».
    Cette « vision » laisse entendre que l’Etat est au sommet de la structure « de » gouvernement, et qu’il a des marges pour orienter la gestion du PAF et de la Presse. Mémona a une vision social-démocrate de la politique. Vision erronée.
    Dans les faits, cad dans une vision « classiste » , cad dans la réalité, le sommet de la structure de gouvernement de la Nation, ce n’est pas l’Etat, ce sont les oligarques, les milliardaires réunis. Et c’est ce sommet, ce groupuscule de milliardaires, qui pilote directement à la fois l’Etat et la Presse. Mme Mémona, c’est à ce sommet de milliardaires qu’il vous faut adresser votre demande de changer le gouvernement de l’Etat et de la Presse. Macron, chef de l’Etat, est le larbin des oligarques français, oligarques qui chapeautent l’Etat et la presse.

    C’est d’ailleurs pour cela que Macron, qui est entre le marteau (les oligarques au sommet) et l’enclume (la population des travailleurs à la base), se comporte comme un « agent de maitrise » pris entre son patron et son équipe : avec l’équipe, il fait « copain-copain » ou « ami-ami », cad de « l’interpersonnel » sympa ; mais, « en même temps ( !!!!) » , il participe aux divers comités et sous-comités de direction pilotés plus ou moins directement par le Patron cad par « les oligarques réunis ». L’Etat ici est la structure de management de proximité de la Nation avec sa comptabilité (ministère de l’économie), sa DRH (éducation nationale, sécurité sociale), son service « commmercial/communication (essentiellement le PAF et la Presse) etc … Et, là, quand vous croisez Mr Macron dans les plus « hauts » couloirs, ce n’est plus le même que dans les « bas » couloirs, et ce n’est plus « ami-ami », c’est « ami-ennemi », c’est « classe contre classe », avec dans la classe basse des dirigés, une palanquée de « fayots » -moins pauvres que les autres- qui vont des kollabos (Zemmour, Lepen, … Hollande, Macron, Sarko etc ….) aux centristes (CFDT, LFI, vous-même mme Mémona -mais vous êtes adorable …).
    Macron est un agent de maitrise, qui a été formé à l’Ecole Nationale des Agents de maitrise (l’ENA).

    Le CSA là-dedans est la Chambre Syndicale d’Anregistrement du patronat français en matière de communication. Cette chambre prépare les dossiers que doivent signer l’assemblée des secrétaires (désignés par le service com) grassement rémunérés (donc ils signent et ferment leur gueule, car la soupe est bonne).

    Aparté.
    Un petit détail important a été évoqué « en creux » en fin de cet entretien. Détail qui est un marqueur de la gauche : la liberté d’expression c’est bien, à condition (essentielle) qu’existe aussi l’égalité d’expression. Pouvoir (au sens de permission) s’exprimer librement, n’est rien si l’on n’a pas le « pouvoir » matériel (au « sens » des moyens financiers) de s’exprimer. Pouvoir légal et pouvoir financier sont les deux forces productives indispensables à l’expression démocratique, cad à l’égalité d’expression. Contrairement à ce que dit Mémona, non ce n’est pas le modique prix d’un studio qui suffit à l’égalité dans le pouvoir « matériel » de communiquer. Non. Surtout quand la com politique est orientée distraction, ludique, mais aussi innovation, scandale (cad hypnotisation, oeillèrisation), comme c’est le cas chez Hanounna.

    En vrac, pour finir :
    • « qu’est-ce qui est plus grave : Zemmour ou Hanouna ? » demande Mémona : franchement, n’est-ce pas bonnet « blanc » et blanc « benêt » ?
    • Macron à des journalistes : « vous les journalistes, vous vous occupez des problèmes, mais pas du pays »
    Réponses des journalistes : « vous président, vous vous occupez des problèmes des oligarques, mais pas de ceux de la population du pays »

  3. Bonjour à toutes et à tous,
    J’ai entendu des reporters de guerre un peu plus mordants.
    A la question ; »que pensez vous du traitement médiatique de la guerre en Ukraine ? » elle ne répond absolument pas, elle a affronté les obus et autres mais à cette simple question elle botte en touche, la peur de ne plus passer sur les médias pour vendre son bouquin est elle plus forte.
    Au sujet de PPDA le passage est savoureux, « je ne travaillais pas à TF1 », oui mais si j’ai bien compris ce que disait Hélène Devynck sur QG, tout le petit monde l’audio visuel savait….Mais elle, grande journaliste elle ignorait….. Ah, oui j’oubliais elle n’était pas à TF1…….
    Ensuite, si j’ai bien compris, les journalistes ne sont responsables de rien, ce sont des gens formidables et ce n’est pas de leur faute si ils font de la merde mais la faute du « système ».
    Le passage au CSA est assez troublant pour une personne qui a une si haute estime d’elle même car elle avoue n’avoir absolument rien fait pendant 6ans, je répète 6ans, donc elle a juste empoché le chèque qui à mon humble avis doit être assez conséquent ……..Misère !!!!!!!!!!!!
    Heureusement qu’Aude Lancelin montre que même avec des petits moyens on peut faire du journalisme et il y en a d’autres bien sûr.
    Bonne journée et force et courage à toutes et tous ceux qui ont un tout petit chèque en fin de mois et qui pourtant FONT…….

    1. Merci de ce compte rendu; j’ai arrêté au bout de 15/20 mn. L’essentiel c’est qu’elle n’ait pas couché (et pourtant elle a dû être beaucoup sollicitée : belle femme quoi !). Mais son extraction modeste, son parcours, lui confèrent un vrai mérite (il parait que dans les écoles de journalistes ce sont essentiellement des fils de bourges).

      1. On peut être d’extraction modeste et se fourvoyer totalement…… Et il y a des grands reporters (et bourgeois) qui ont fait de grandes choses. Etant moi même issu d’un milieu pauvre ce qui m’importe ce sont les actes car j’en ai vu hélas beaucoup qui ont oublié d’où ils venaient et quand la mémoire leur revient c’est pour vanter la méritocratie et qu’on les applaudisse bien fort en disant : « Tu rends compte, tu rends compte le parcours »…. Non vraiment je ne comprends pas l’admiration d’Aude Lancelin à son égard….

        1. Je pense qu’Aude (et QG) a aussi dans ses cibles « idéologiques » à promouvoir, la question du féminisme, féminisme essentiellement représenté par ailleurs par les enfants de la bourgeoisie, bourgeois eux-mêmes. Mémona est une trans-classe.
          Il y a aussi chez Mémona la question de l’antiracisme qui peut être mise en valeur, ainsi que de la mixité confessionnelle avec le duo Islam-Chrétienté. La tentative de viol de Kadafi, sa mère battue, etc font que, mises bout à bout, toutes ces cases cochées justifient son « cas ».

          Certes, elle est une petite bourgeoise, et elle reconnait qu’elle n’a pas craché sur les chèques « gratuits » qu’elle a reçu au CSA. Qui a fait mieux qu’elle en la matière ? Ne demandons pas l’impossible aux femmes, je veux dire ne demandons pas aux femmes d’être au-dessus du lot. (sinon, à la fin, ce sont elles qui vont commander ! faut pas déconner ! égalité oui, supériorité, non !).

          Finalement, j’ai trouvé sympa son espèce de naïveté/spontanéité. Au début je me questionnais, et à la fin j’ai été séduit.

          Et franchement je n’ai pas perçu chez Aude, dans la conduite de l’entretien, une admiration démesurée. Un accueil très favorable, oui, mais pas du délire.

      1. Très franchement, j’ai écouté beaucoup d’entretiens de journalistes de guerre et je me demande si elle était sur le terrain ou bien dans les hotels comme beaucoup d’entre eux et quand on finit au CSA c’est la preuve qu’on ne dérange absolument pas les gens de pouvoir…Ou bien je ne comprends vraiment rien à rien
        https://elucid.media/politique/echapper-a-la-mort-et-reveler-la-verite-l-histoire-d-un-reporter-de-guerre/

Laisser un commentaire