Reportage : le fléau des piqûres sauvages

Émission du 22/07/2022

Depuis plusieurs mois, des centaines de plaintes concernant des piqûres sauvages ont été recensées en France. Sur les réseaux sociaux, ce phénomène est devenu viral. Les témoignages se ressemblent : des traces de piqûre sur les jambes ou les bras suite à des concerts, des festivals, ou des soirées. QG a rencontré Safiatou Mendy, coordinatrice chez Consentis, association luttant contre les violences en milieu festif, et Camille, étudiante victime d’un piqûre durant la Pride radicale, pour comprendre ce phénomène.

À voir aussi
À voir aussi

2 Commentaire(s)

  1. Le plus étrange dans cette affaire, c’est que personne ne fait (ne veux faire) de rapprochement avec la campagne de vaccination, ou des jeunes se sont fait piquer pour pouvoir aller en soirées, sans un réel consentement libre et éclairé, sans réellement connaître le produit injecté, etc…
    Ceux qui font ça ne souhaite peut être, seulement, que les gens s’interrogent sur leurs action et mode vie. Les victimes ne savent pas plus ce qui les piques en soirées, que ce qui les a piqué pour pouvoir y aller.
    Mais chute ! Il ne faut surtout pas parler de ça.

  2. Là, je me sens largué ! Que vient faire la question du consentement dans cette affaire ??????
    Ca devient un cataplasme de bonne femme ce truc !
    Les mecs qui font cela (vraisemblablement des malades) savent très bien que c’est délictueux; et c’est d’ailleurs pour cela qu’ils ne demandent pas d’autorisation à la victime et font cela incognito.
    La solution ne consiste aucunement à exiger des agresseurs de s’assurer du consentement de la victime avant d’agir. La solution consiste à les coincer et à les coffrer. Aucune femme en boite de nuit ne consentira jamais à ce qu’un inconnu la pique avec une seringue. Le consentement ici n’est pas une alternative envisageable. C’est idiot cette façon de calquer ces cas d’agressions incognito sur les cas d’attouchements sexuels en principe parfaitement cognito lors d’une danse ou autre situation de proximité !

    Question : pourquoi ces femmes « in the wind » ne demandent pas aux employeurs de s’assurer du consentement des salarié(e)s avant de leur extorquer la plus-value sur le travail ? La réponse n’est pas si simple !

Laisser un commentaire