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Les femmes au péril de la rue – Quartier InterditAvec Elina Dumont

Émission du 18/11/2021

La journaliste Itzel Marie Diaz a reçu Elina Dumont, ancienne sans-abri aujourd’hui comédienne, pour un entretien sur la condition des femmes à la rue. Elle est l’auteure de «Longtemps, j’ai habité dehors», qui retrace ses premières années sans domicile à l’âge de 18 ans. Elle milite aujourd’hui pour la prise en charge des personnes à la rue, en lien étroit avec plusieurs associations. Alors que la crise du logement explose en France, notre invitée a témoigné des réalités extrêmes (agressions, drogues, hygiène) auxquelles font face les femmes dans cette situation, souvent abandonnées par l’État.

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5 Commentaire(s)

  1. Petit complément : quand tout à la fin de l’entretien, Itzel Marie Diaz mentionne que les femmes vivant dans la rue sont « 40 % en France », cela mérite d’être explicité, que veut-elle dire ? Que 40 % des femmes sont sans domicile (cela m’étonnerait beaucoup) ou bien que 40 % des personnes vivant à la rue sont des femmes (chiffre terrible et surprenant voire tabou, mais malheureusement plausible) ? Merci de préciser ce point, peut-être. Encore bravo pour la qualité et la profondeur de cet entretien.

  2. Un grand bravo pour cet entretien, à la fois touchant et éclairant. Ce sont des figures comme Élina Dumont, qui savent de quoi elles parlent, réalistes et capables aussi de lâcher la langue de bois, qui dans bien des domaines peuvent participer à informer et humaniser notre société. Une surprise, en ce 22/11/2021 : je constate que l’accès libre à l’extrait de 7 min sur Youtube n’est déjà plus disponible ? Cet entretien dérange-t-il tant que cela ? Ou y a-il eu un problème technique momentané ? Dans tous les cas, continuez à nous informer et à nous faire réfléchir, merci !

  3. Humainement excellentissime.
    Y’aurait de quoi écrire un livre sur ce problème de l’extrême pauvreté et sur le parcours de réinsertion et le parcours idéologique de cette dame. On sent en elle une rage ancienne, et peut-être même un soupçon d’abîmement (du verbe abîmer; qu’elle veuille bien m’en excuser) excellemment domestiqués par des analyses raisonnables et équilibrées concernant les problèmes pratiques de la rue. De la pratique (voir Mao Zé Dong).
    Quand je pense à ces connards de wokes qui veulent supprimer la séparation homme-femme dans les chiottes et dans les douches (c’est déjà le cas dans certains campings) alors qu’il y a tant de problèmes immensément plus urgents à traiter dans la société. Ainsi va la post-modernité : tuer la lutte sociale en l’étouffant dans des luttes sociétales, dont certaines absolument ridicules.
    Aux chiottes les wokes (si-possible dans des chiottes séparés pour les femmes et les homme) !!!!!

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